Marcher sans savoir où on va.

Après être sortie de la maison du Sawada, je marchais dans les rues sans savoir où je vais. J'avais l'esprit ailleurs. Il n'était pas vraiment avec moi. Je serra ma main sur mon katana. Je me sentais bien avec mon katana. Je peux me battre sans mais avec, ça me donne plus de taux de réussite. On me demandais de gagner, je ferai de tout mon possible pour gagner. Je me cogna contre une personne.
-Excusez-moi.

Moi, qui voulais voir du monde même si je n'osais pas vu tout ce qui se passais aux cotés de mon boss. Je du avoir quelques minutes ou heures, je ne sais plus, pour réfléchir si j'y allais ou pas, et que si j'y allais quel excuse trouver. Je sortie quand même et je marchais tout en rêvant. Quand je repris mes esprits je m'était cognée contre une personne et j'était pas loin de la maison de mon boss.
- Ah, non... C'est moi qui m'excuse...

- Non, c'est de ma faute, mon esprit était ailleurs.
Je la regarda. Des cheveux mauves, un oeil de la même couleur, un cache-oeil et un uniforme vert. Elle m'avait l'air gentille. Je poussa un soupir. Un tout petit soupir. Histoire qu'on ne le remarque pas.
- Où vast-tu ?

Je regardais le jeune fille. Elle portais un katana, je me dit aussi tôt que ce n'était pas une simple fille comme les collégiennes ou les lycéennes. Je me demandais aussi ce qu'elle fessais pas très loin de la maison de mon boss. En avait-t-elle après sa vie? Au premier regard non. Elle avais l'air d'être inoffensive.
-Hum? Je...Me baladais simplement... E-et vous?

- Je ne sais pas ....
Elle se promenait ? Et ben ... Elle avait bégayé vers la fin. Mais pas grave. Si je montrais un sentiment, qu'est-ce que ça allait faire ? Rien du tout. Et puis, c'est pas mon style de montrer mes sentiments. M'enfin bon.

Pas loin, une ombre courait de toutes ses forces. C'était Tsunayoshi Sawda, le dixième parrain Vongola. Ce qui le poussai à courir aussi vite...C'était sa peur. Celle pour son professeur particulier, un tueur à gages, un bébé de âgé d'une année. Reborn. Celui n'arrêtai pas de frapper Tsuna depuis qu'il le connaissait. Tsuna redoutait -redoute toujours- ses coups. Or, aujourd'hui, il devait acheté de la nourriture mais il a oublié. Tout simplement oublié. Purement oublié. Alors il courrait. Courrait par la peur mais aussi la faim. Oui la faim. Tsuna aperçut deux silhouettes féminines.
*C'est la fille de tout à l'heure..et Chrome!*
Tsuna s'arreta devant elles.
"Quelle bonne surprise! Chrome! Que fait tu ici?"

Je vis le décimo arriver. Ils se connaissaient à ce que je vois.
-Je vais vous laissez.
Je commença à marcher tranquillement tout en replongea dans mes pensées. Si je gagne, je suis heureuse mais je le montre pas. Souriez n'est pas vraiment dans mode de vie. Plus maintenant.

Je ne comprenais plus ce qui se passais. L'autre jeune fille était aparament froide. Et que fessait mon boss ici? Il voulais fuir quelque chose ou quelqu'un vu sa vitesse. Soit. Mais pourquoi fuir alors qu'il est le plus fort des Vongola? Plutôt bizarre le decimo...
-Boss... Hum... Je me promenais. Et vous?
*Pourquoi faut-t-il que je tombe sur lui?*

Gokudera arriva aussi vite que le Décimo et le rattrapa.
-Dixième du nom, attendez moi !!!
Gokudera s'étonna:
*Quoi? Chrome cette fois.*

DESOLE SI C'EST COUR

Tsuna entendit Gokudera.
*Encore Gokudera!*
Tsuna se tourna vers Chrome.
"Moi je vais faire les courses. Allez Bye! Peut-être à tout à l'heure....D'ailleurs il fait tard...."
Tsuna courra et se retourna.
"Tu devrais rentré chez toi! Mais si c'est trop loin tu peut aller chez moi!"
Puis Tsuna fut bientôt qu'un minuscule point noir.

Quand Chrome entendis la voix de Gokudera elle se dit aussi tôt.
*Oh non... Voila le gardien de la tempête...*
Ce gardien... Toujours collé a Décimo...
Quand elle entendit les dernières parole du Décimo, Chrome s'étonna.
*Moi...? Allez chez lui?Non...
-Merci Boss... Mais ce n'est pas la peine.
Même si elle n'osait pas y allez, elle en avais très envie.

Je m'éloigna d'eux. Je ne savais pas où j'allais. Trop occupé à penser. Penser du passé. Si j'avais eu une vie normal. Je sourirais, je montrerais mes sentiments et autres truc de ce style. Des choses normaux chez un être normal. Je me demandais si le vieux était toujours en vie. Un de ses quatre, j'irais le voir. Je partis vers un lieu sans savoir où.