La santé complète la discipline. {PV Yûka}

La santé complète la discipline.

Un matin ensoleillé venait d'apparaître sur le lycée Namimori. Tout était paisible et tout allez pour le mieux. Le ciel était si bleu qu'il n'y avait aucun nuage, la température était ambiante. Une journée quoi de plus normale pour chaque élève, sauf un. Le jeune Kyôya, chef du comité de discipline avait passé la nuit dans l'hopital. Ce dernier était malade, chose qui s'avère plutôt rare chez lui. Souvent, alors qu'il ne restait qu'allongé, il recevait des visites du reste du comité de discipline tel que le fidèle Kusakabe. Kyôya était fatigué, il n'avait pas beaucoup dormi mais il ne le montrait pas. Il se redressa et enfila sa veste du comité accrochant son insigne à sa manche gauche. Il ne voulait guère restait en cette chambre d'hôpital. Le repos n'avait aucun sens à ses yeux, il décida donc de faire un tour dans l'enceinte du lycée. Marchant dans le couloir principal, il se retourna vivement au son d'un bruit: le bruit d'une fenêtre qui s'était cassée.

- Hmph. soupira-t-il.

Il s'avança vers la fenêtre qui s'était cassée. Regardant au travers il pensa un bref instant que c'était les joueurs de baseball. Seulement il ne pensa pas à eux car il n'y avait aucune balle qui avait franchîe la fenêtre pour s'arrêter dans le couloir. Il scruta donc autour du terrain de baseball pour savoir qui était le coupable.

Yuka marchait dans les rues de Namimori. Elle n'avait rien à faire. À part chercher un travail pour pouvoir payer son loyer. C'est vrai que mafieuse ça paie, mais elle voulait avoir un second métier pour moins s'ennuyer. Étant donnée que c'était rare qu'on lui demande de faire quelques choses. Elle poussa un long soupir. Yuka tenait son katana dans la main gauche. Aujourd'hui, pour changer un peu de ses vêtements noirs, elle portait un T-shirt blanc et dessus ce trouve un papillon bleu foncé, et par-dessus le T-shirt, il y avait une chemise bleu foncé. Elle portait une jupe vert foncé et des ballerines noires. C'était sûrement la seule chose de noire qui se trouver sur c'est vêtements. Elle avait un petit sac où se trouver ses papiers dont elle aurait besoin pour la journée. La jeune femme ressemblait à une personne normal. Mais, le hic, c'est son katana. Cela effrayait certain passant. Elle s'acheta un journal et vit une annonce voulant d'un surveillant au lycée de Namimori. Yuka haussa les épaules et jeta son journal. Pourquoi pas ? Elle soupira et se dirigea vers le Lycée de Namimori. Elle arriva devant le lycée. Bizarrement, pendant tout le trajet, elle se sentait suivi. Elle se tourna et vit des racketteurs qui en voulait sûrement à son argent. Elle les vit s'approcher d'elle et lui parler. Elle ne les écoutait pas du tout. Yuka s'en fichait un peu. Ils s'énervèrent et voulurent la mettre au sol. Mais, ce fut le contraire. Elle les mit tous KO. Un par un. Mais, le premier prit une pierre et le jeta de toute ses forces sur Yuka, mais elle l'évita. Quand ils virent ce que la pierre avait cassé, ils détalèrent en vitesse.

( J'ai pas beaucoup d'idée. =/)

Kyôya se décida à descendre les escaliers pour enfin sortir et être dans la cour du lycée Namimori. Il opta pour marcher non loin du terrain de baseball, là ou il pensait y trouver celui ou celle qui avait cassé la vitre. Kyôya supposa également que le coupable pouvait être déja parti. Après tout, il avait l'habitude que dès que chaques personnes le regardaient, tous paniquaient et s'enfuirent. C'était sans doute un don chez lui, mais il préférait bien plus ceux qui restait devant lui rien qu'à l'affronter d'un simple regard qui souvent se transformait en combat pour satisfaire le jeune chef du comité de discipline. Le combat, une raison qui lui plaît beaucoup. Pour instaurer la discipline, il faut dire que Kyôya n'a pas de limite. Le jeune Kyôya commençait à sentir les effets d'un mal de tête dût à sa maladie. Juste à coté du terrain de baseball se trouvait l'entrée. Il passa par là et s'approcha. Il n'y avait personne sauf une fille pas très loin. Il comptait juste aller lui demander si elle aurait vu quelque chose, mais il s'aperçu qu'elle était en possession d'une arme. Pas n'importe laquelle mais un katana.

- Sais tu que dans l'enceinte du lycée les armes sont interdites ?

Yuka regardait la direction où il regardait avant de s'enfuir comme des lâches. Elle vit un jeune homme. Un peu moins âgé qu'elle. Sûrement 2 ou 3 ans de différence, va savoir. Il avait des cheveux noirs et des yeux gris. Il faisait 1m69, environ. Elle était un peu plus petite que lui. Il avait un insigne montrant qu'il était le préfet de discipline. Le préfet lui dit que le port d'arme est interdite. Yuka avait le sentiment qu'elle en aurait besoin aujourd'hui. Elle vit qu'il avait des armes. Des tonfas, plus précisément. Elle savait que ce serait le moment de se battre. Elle poussa un soupir et décida de lui répondre.

- Je le sais. Mais, je sais que j'en aurais besoin aujourd'hui.

Yuka n'allait pas se laisser se faire battre par quiconque sans s'être battue. Elle n'aimait pas trop se laisser faire et ne se laissera jamais faire. Elle se prépara à dégainer son katana. La jeune femme surveillait chacun des mouvements du préfet.

Hibari Kyôya sentait que la jeune fille n'était pas une ennemie. Du moins, il l'a trouva plutôt calme et prête à sortir son arme lorsqu'il y a l'occasion de se défendre. La jeune fille n'était pas habillée tel que les autres élèves du lycée Namimori portant un uniforme. Kyôya pensa donc que ce n'était pas une élève de ce lycée. Sans doute une raison de plus pour la bannir de ce lieu. C'était ce que supposait Kyôya. Aucun individu qu'il considérait inconnu ou encore intrus n'était toléré à Namimori sous peine de croiser de fer avec Hibari. Le préfet de discipline trouva tout de même la jeune fille plutôt disciplinée d'une part à avouer qu'elle sait que le port d'une arme est interdite. Mais il l'a trouvait indiscipliné d'une part à mettre les pieds ici même si l'entrée n'était pas loin. Il l'a trouvé plutôt calme, et lorsqu'elle avoua qu'elle aurait besoin de son arme, il pensa qu'elle attendait une personne. Sans doute un ennemi ou une autre personne qu'elle s'apprêtait à affronter. Mais Kyôya n'allait jamais tolérer cela dans l'enceinte du lycée Namimori.

- Que fais tu ici? Et quel est ton nom?

Il n'avait pas encore tenté à sortir ses fameuses tonfas, il décida juste de rester sur ses gardes et de ne laisser aucune faille sur son air pouvant dévoiler son mal de tête.

Il lui posa quelques questions. Qui est-elle ? Que faisait-elle ici ? Elle était mafieuse et ce nomme Yuka Yakimura. Elle était là pour l'annonce, et elle devait voir le Principal du Lycée pour pouvoir se faire engager en temps que surveillante. Mais, cela ne regardait pas le préfet de discipline en temps normal. Yuka gardait son visage calme et glacial. Il était souvent ainsi. C'était rare qu'elle souriait ou autre sentiment de ce genre. Elle avait appris à ne pas baisser le regard devant une personne intimidante ou à ne pas rougir lors des situations gênante.

- Je vais voir le Principal de ce lieu. La raison de ma visite au Principal ? Ça ne te regarde pas. Qui suis-je ? Yuka Yakimura.

Si il était de la mafia, elle aurait rajouté qu'elle était le lieutenant de la division de l'eau. Mais, même si il était de la mafia, elle ne l'aurait pas dit. Et puis, il lui disait quelques choses. Elle se souvint de l'avoir vu quand elle avait rencontré le Décimo pour la première fois ( le rp "Rencontre ! [Suite] Page 2). Yuka se souvint aussi qu'il l'avait menacé sans raison. Et elle n'avait aucune idée pourquoi il l'avait menacé.

Kyôya ne l'a reconnaissait pas tellement. Cela dit il trouvait qu'elle avait un air étrangement familier. Sans doute ne l'a reconnaissait-il pas à cause de ses vêtements ayant bien changés et bien plus éclaircit que ses vêtements de mafieuse généralement noir. Il ne savait pas que c'était elle qu'il avait menacé. Lors de sa première rencontre, Kyôya avait instinctivement pensé qu'elle était de la mafia et qu'elle semblait froide, bien froide. A défaut du boss Vongola elle paraissait bien plus mystérieuse et non amicale. Kyôya soupira bien que la jeune fille lui avait répondu. Yuka Yakimura, c'est ainsi qu'elle se nommée. Il n'avait jamais entendu parlé d'un tel nom. Il hésita à la conduire auprès du principal, mais après tout pourquoi ne devrait-il pas lui faire confiance malgré qu'elle porte un katana? Il resta tout de même intrigué par la jeune fille et décida de l'amener dans le bureau du principal.

- Suis moi, je t'y amène.

Yuka fut légèrement étonnée de son changement d'avis. Elle haussa les épaules et le suivit tout en gardant son air calme et froid. Parfois, on la qualifie de glacial et d'insensible. Cela ne faisait qu'amplifier son côté glacial et insensible. Mais, cela ne la gêne pas du tout. Au moins, elle ne se ferait pas du tout embêter par des imbéciles. Elle suivit le préfet. Cela évitera qu'elle se perde. Mais, elle a tout son temps. Le préfet avait l'air d'avoir le même caractère qu'elle. Elle regardait par où ils passaient pour pouvoir sortir seule sans le préfet. Elle n'aimait pas trop être accompagnée d'une quelconque personne. Sauf si c'est pour la famille Vongola. Yuka était fidèle aux Vongola. Même sous les pires tortures, la lieutenant ne dirait rien sur eux. C'est ce que ses parents lui avait appris.

Kyôya n'aimait pas accompagné des personnes, il préférait bien plus restait seul et solitaire comme toujours. Mais si c'était pour aller dans le bureau du principal, cela ne lui posait aucun problème car le jeune préfet de discipline était entièrement d'accord à ce que l'on voit le principal pour une quelconque chose tel que respecter les règles ou encore demander un nouvel "événement" dans Namimori. Cela dit ce que désirait Yuka ne l'intéressa pas, mais si cela avait à nuire à la discipline de Namimori, Kyôya n'hésitera pas à intervenir. Le bureau du principal n'était plus très loin, durant cette courte marche les deux individus n'avaient rien dit. Kyôya arriva auprès de la porte du bureau du principal. Il s'arrêta toujours en avant et de dos à Yuka et lui annonca que c'était ici. Il ne tarda pas à se retourner pour rebrousser chemin, mais il sorti très rapidement une de ses tonfas à ras du cou de la demoiselle. Sa bague Vongola luisait de lumière à cause de ses tonfas argentés.

- Tâche de ne rien faire de stupide.

Puis il continua sa marche, rebroussant chemin les tonfas à la main. Le couloir s'offrait à nouveau à lui et Yuka se retrouva à nouveau seule face à la porte du principal.

Elle eut un petit frisson. Yuka n'allait pas se faire capturer de si tôt. En tout cas, elle n'allait pas se laisser faire. C'était hors de question de se laisser faire. Elle n'était pas le genre de fille qui se laisse faire. Elle entendit le préfet annoncer qu'on était arrivé. Yuka remarquait qu'ils étaient vite arrivés. La jeune femme ne disait rien quand le préfet pointa son arme près de son cou et vit que la bague vongola du jeune homme brillait. Elle gardait son visage calme et repoussa doucement et rapidement son arme de son cou. Le regard de celle-ci était provocant. Mais, son geste ressemblait à de la provocation.

- Je vois que monsieur le préfet aime se battre.

Puis elle se retourna. Elle posa son arme devant la salle et frappa. Elle attendit qu'on lui permette d'entrer. Yuka entra et vit que le principal était plutôt vieux. Il avait au moins la quarantaine. Il était assit dans un fauteuil. Elle s'assit et parla de la demande sur le journal. Ils discutèrent de ses capacités et de son diplôme et pourquoi elle voulait cette emploie. Après une quinzaine de minute de discussion. Elle sortit du bureau. Yuka poussa un soupir. Elle croyait que cela n'allait jamais finir avec toutes ses questions. Elle récupéra son katana noir.[/i]

Kyôya resta intrigué de savoir une fille avec une arme pareille dans l'enceinte du lycée Nanimori. Il se demandait pourquoi cette Yuka Yakimura disposait d'un katana et si elle comptait être une nouvelle élève dans ce lycée. Si ce cas s’avérerait vrai, Hibari n'aurait aucun scrupule à continuer de la surveiller, voir même à la sanctionner si elle continuerais d’enfreindre une règle du règlement intérieur du lycée qui stipule l'interdiction du port d'arme.

- Je vois que monsieur le préfet aime se battre. avait-elle dit avant de rentrer dans le bureau du proviseur.

A ces mots, le jeune comité de discipline eût un sourire en coin. Lorsque celle-ci n'était pas présente dans le couloir de l'enceinte du lycée ou se trouvait Hibari, il décida de ramasser l'arme de Yuka et de la sortir pour l'analyser. La lame était bien aiguisée, elle ne semblait pas neuve. Le préfet de discipline ne s'attarde pas là dessus et la rangea de nouveau. Il décida de faire une nouvelle ronde dans le couloir ainsi que de prévenir le personnel que la vitre qui était à côté de la salle du cours de science sociale était cassée. Kyôya était toujours aussi malade mais il essayait de ne pas le montrer. Sa gorge l'irritait plus que tout autre chose, il commença à tousser. Il repassa vers le bureau du principal après quinze minutes et il recroisa de nouveau la jeune épéiste.

- Maintenant puis je savoir en quoi consistait ton entrevue avec le principal? Du moins, pourquoi es tu ici si tu as un rapport avec Nanimori.

La Yakimura accrocha son katana à sa ceinture. Elle commençait à marcher dans les couloirs de l'école. Et là. Devinez qui a-t-elle croisé ? D'abord un canari jaune. C'est plutôt normal pour un canari d'être jaune. Par la suite, son maître, son propriétaire ou on ne s'est trop quoi arriva. Hibari Kyoya. Il lui posa une question. La jeune femme eut envie de rire. Mais, elle se retint et n'afficha rien d'autres.

- Ce que je fais ici ? Ne pense même pas que je suis une élève. J'ai terminé mes études depuis un petit bout de temps.

Celle-ci fut contente qu'il n'était point le boss. Et même si c'était un gardien de son boss, elle n'hésiterait pas à se battre avec lui. De plus, elle n'obéit qu'au boss et à Reborn. La demoiselle aux yeux gris eut un petit sourire. La brune aimait bien son travail de mafieuse, mais elle ne l'avouerait jamais. Ce travail lui permettait de ce battre sans se faire arrêter par la police. Et puis, en temps de conflit, celle-ci avait un emploie du temps charger. Comme évaluer les nouvelles recrues, remplir la paperasse pour des armes ou d'autres choses, préparer des attaques. Au début, elle n'avait pas accepté d'entrer dans la mafia, mais au final, elle trouvait ça amusant.

- Tu devrais lire plus souvent les journaux. Le boulot mafieux paye bien, mais n'étant pas en période de conflit, l'ennuie prend le dessus. Ah oui...Le vieux m'avait dit de faire attention à la terreur de ce lycée.T'es qu'un gamin.

Hibari sourit par les mots de la demoiselle. Il ne se considérait pas entièrement comme un mafieux, comme beaucoup le savent il préférait la jouer solitaire et se mettait à l'écart de tout restant ainsi au calme complet. La dernière remarque de la jeune femme l'avait provoqué. Il avait horreur des "gamins". Lui dire qu'il en était lui même un le contrarierait. Aussitôt il sorti ses tonfas d'un sourire, ne pensant pas à se retenir. Ces grands airs commençait à apparaître, toujours près pour la bagarre ainsi que faire régner l'ordre.

- Intéressant, personne ne m'avait considéré ainsi, ni même osé me le dire. Ta remarque est tellement déplacée. Une mafieuse n'a rien à faire ici, déguerpit.

Son air devenait de plus en plus froid, surtout son regard. Il continuait de mettre en garde la jeune femme. Il commença à s'avancer pensant lui donner un coup, mais à ces quelques pas la sonnerie du lycée retenti. Une grande foulée d'élèves sortirent des salles de classes. Le moment devînt mal placé, d'autant plus que le jeune comité de discipline avait horreur de monde. Il continua son pas comme si il ne s'était rien passé, puis il passa à côté de Yuka et continua sa marche pour partir de ce couloir.

Le gamin sortit ses tonfas. Elle remarqua que sa remarqua que l'a remarque l'avait contrarié. Mais, il y a bien plus fort. Il n'en manquait pas. Mais généralement, il ne se déplaçait guère. Et puis, elle vivait ici indéfiniment. Alors, elle restera sûrement trois ou quatre mois et au pire des cas, sept mois. À voir si ils vont se décider à agir. Et puis, un combat ou deux de temps à autres, ce n'était pas si "grave". Si il y a des dégâts, elle payera.

- Tu sais, il y a bien plus fort que toi. Comme le Boss, Nono-sama ou Xanxus-sama. ( J'aurais voulu m'être dono, mais des répétions du o... Ça le fait pas )

La sonnerie sonna. Du monde commença à venir dans les couloirs. Elle n'aimait pas trop se montrer dans un lieu rempli de personne normal. Mais, ils n'étaient pas tous normaux. Comme le Decimo. Yuka jeta un regard noir à ceux qui regardait son katana. Le katana qui se transmettait de mère en fille depuis dix générations. Elle avança vers le préfet. La jeune femme s'arrêta et laissa avançait le préfet. Une fois à deux mètres d'elle, la mafieuse lança au préfet de discipline.

" Je commence la semaines prochaines en faite. Et je travaille à mi-temps. Ce qui m'évite de rester trop longtemps avec des gamins et des gamines de votre âge. "

Par la suite elle lui lança une vague de la flamme pluie jusqu'au gamin, mais très discrète. Seul les personnes faisant partie d'une famille mafieuse la sentirait. Yuka connaissait très bien les effets de la pluie. Les effets de la flamme de la brune faisait ralentir les mouvements et désaccordés les attaques. Une fois contente, elle repartit dans la cour.

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